L’ADN révèle l’histoire évolutive des spécimens de musée
Les spécimens de musée conservés dans les collections d’histoire naturelle à travers le monde représentent une manne d’informations génétiques sous-utilisée en raison de l’état de conservation de l’ADN qui le rend souvent peu exploitable. Une équipe internationale, dirigée notamment par du département et du , a optimisé une méthode d’analyse d’ADN ancien pour déterminer les relations entre espèces sur une échelle évolutive profonde.
L’ a été publié dans la revue Genome Biology and Evolution.
Lire le communiqué de presse de l’UNIGE.