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Le département de physique nucléaire et corpusculaire

ATLASAu Ve siècle avant J.-C., Démocrite aurait eu l’intuition de l’existence d’une particule fondamentale de matière en observant le sable. Il l’appela atomos, littéralement «qui ne peut être coupé». Son intuition géniale a été fabuleusement enrichie par les découvertes du XXe siècle grâce à l’essor de la physique des particules et des hautes énergies.

Le Département de Physique Nucléaire et Corpusculaire participe très étroitement à l’aspect expérimental de cette aventure scientifique, profitant notamment de la proximité du , l’un des plus grands centres mondiaux permettant de tester cette physique si déroutante de l’infiniment petit.

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Avec les forces qui règnent entre elles et l’espace-temps dans lequel elles évoluent, ce zoo apparemment exotique de particules forme un ensemble cohérent, le modèle standard. Il permet d’expliquer de très nombreux phénomènes, mais d’importantes questions restent ouvertes : Comment certaines particules acquièrent-elles une masse ? Où sont passées les particules d’antimatière qui peuplaient l'Univers dans les premières instants? Existe-t-il une particule messagère de la force de gravitation ?

La physique des hautes énergies n’a sans doute pas fini de produire des Prix Nobel.